vendredi 26 septembre 2008

Le coeur de monde (3)

Chap. III : la tempête




Tous les passagers étaient maintenant tournés vers les bateaux qui les poursuivaient
Chacun dans leurs coins ils observaient, le capitaine pris ses jumelles et les pointa en direction des bateaux, il reconnu immédiatement les uniformes brésiliens, mais fut surprit de reconnaître un général sur le bateau du centre, il s'approcha du professeur martins qui se trouvait le plus proche de lui
« connaissez vous ce soldat qui se trouve sur le bateaux du centre ? »

Il donna ses jumelles a Martins, et patienta quelque seconde avant que l'homme ne tressaille

« mais...comment ! Que fait t'il ici ? »

« Vous le connaissez? »

« Oui, enfin il m’a approché alors que j’étais en vacance au brésil, il voulait que je travaille pour le gouvernement brésilien à la création d'une nouvelle arme ».

Zen compris enfin tout ce que reliait chacun des passager de ce bateau ils avaient tous été approchés ou en contact avec un militaire américain ou brésilien.


Jack s'approcha de son capitaine, il ne pu s'empêché de regarder en direction du danger qui s'approchait a chaque instant

Il se plaça derrière l’oreille du capitaine et lui dit « Kum vient de m'informer qu'une tempête se forme près du triangle, si nous y allons nous avons une grande chance de ne jamais revenir, mais si nous faisons demi tour nous allons être attrapés par les brésiliens, nous sommes prit au piège monsieur»

« Et bien contremaître avez vous perdu votre courage ? Nous allons donc passer par cette tempête et j'espère que dieu nous protègera, prévenez Kum que nous gardons le cap »

« Je l’ai déjà prévenu monsieur » dit il en souriant

Le capitaine avait bien fait de prendre jack comme homme de confiance maintenant il en était persuadé

Ils décidèrent de ne pas prévenir les passager ils en avaient déjà assez avec les bateaux qui les poursuivaient mais le capitaine se demandait pourquoi, ils voulaient tellement kidnapper ces trois scientifique puisqu’ils avaient des compétences très différentes, il s'avança prés du professeur Moréda et lui demanda de le suivre, la femme accepta et ils se retrouvèrent seul

« Mademoiselle, j'espère que tout ça ne causera pas de problème ? Mais je me pose une question que vous veulent t'il ?»

Cette question sembla irriter vivement la scientifique mais elle sembla décidée à répondre

« et bien voyez vous je suis une experte en tout ce qui touche en informatique de la ligne de code au déchiffrage des code, un général brésilien est venu il y a cela une semaine dans ma maison de vacance, avant la guerre, il m’a demandé si sa m'intéressait de travailler pour le gouvernement brésilien, mais comme j'avais déjà un emploi qui me demandait beaucoup de temps et peu pour ma fille, je lui est dit non c'est a se moment la que les problèmes ont commencés et que j'ai commencé a préparer ma fuite en Europe »

« Je vois mais…»

Kum venais d’apparaître, il était surexcité

« Capitaine, un des bateaux veut nous joindre par radio! (il observa la femme qui était avec zen) ils veulent...faire un marché »

Le capitaine s’attendait à ce que les bateaux les joignent et savaient ce qu'ils allaient demander mais ils l'avaient fait plus vite qu'avait pensais zen

« Bien je vais de se pas aller leur parler Kum rester avec les passager, jack suivez moi immédiatement »

Ils répondirent à l'unisson « bien capitaine ! »


Remerciment : Daneel

samedi 26 juillet 2008

Le coeur du monde (2)

CHAP II : les Bermudes


Le capitaine regarda ses six passagers qui étaient sur le pont, et commença :
" comme certains d'entre vous l'on remarqué nous avons accéléré subitement, il regarda en direction de martins et de sa femme. Nous sommes poursuivis par plusieurs bateaux brésilien, pirates ou militaires, mais nous n'allons pas ralentir pour regarder de plus prêt"
Zen avait un humour bien à lui et seuls les membres de l'équipage réagissaient à ses pointes d’ironie.

Une belle femme s'avança
"Et qu'allons nous faire ? Voguer jusqu’a ne plus avoir une goutte d'essence ? Ou attendre qu'ils viennent nous rattraper ?"


Arnold apparemment un peu pris au dépourvu par l'intervention de cette femme voulue répondre
"Madame ..."

"Mademoiselle Moréda "

" Bien mademoiselle Moréda. J'ai bien évidement réfléchis à ce problème, et j'ai donc décidé de passer par le triangle du diable pour les distancer. J'espère ainsi échapper à ces bateaux "

Jack pâlit au moment où le capitaine prononça ces deux mots, et les passagers ne purent que le remarquer, lui qui d'habitude ne faisait rien transparaître


Un jeune d'une quinzaine d'année demanda " vous voulez passer par le triangle des Bermudes ? Mais c'est de la folie, des centaines de bateaux on disparut dans ces eau. Il dérègle tous les instruments de bord ce qui ne permet pas de savoir ou nous allons et surtout vers quoi nous allons"

Zen sourit " je vois que tu es un jeune homme intelligent ..."

"Je m'appelle pierre, j'ai appris certaines chose sur le triangle des Bermudes sur le net " pierre qui avait un peut rougie sur le compliment du capitaine redevint pâle comme il l'été normalement.

Il était le plus brillant de sa classe, dans toute les matières mais hélas n'avait pas beaucoup d'amis car il n’allait pas vers les autre et donc ses camarades ne lui parlaient pas beaucoup. C'était pour cela qu'il se réfugiait sur son ordinateur.


Une jeune fille du même âge que le jeune garçon apparut derrière sa mère. Elle lui ressemblait étonnamment


Timidement elle demanda "Donc si nous entrons dans ce triangle nous risquons peut être de ne pas en sortir vivant c'est ça ? "


Sa mère s'approcha d'elle et lui dit délicatement " Ne t'inquiète pas Eve monsieur Arnold sait ce qu'il fait, nous n'allons pas mourir ! "


Eve était une belle fille mais très réservée. Elle parlait assez rarement et quand elle le faisait c'était le plus souvent pour quelque chose d’important.

‘‘Non votre fille a raison mademoiselle, nous risquons notre vie " dit-il avec froideur

Les passagers le regardèrent avec appréhension

Le capitaine leva la voix " jack prévenez Kum du changement de cap immédiatement "

"Mais capitaine ..."

"C’est un ordre contremaître "

" Bien mon capitaine " et il parti prévenir Kum en courant.

Quand il arriva Kum avait l'air un peu déboussolé et ne cessait de regarder en direction des bateaux qui les poursuivaient.

" Nous changeons de cap, il sursauta, cap sur le triangle du diable immédiatement !"


Le japonais regarda son contremaître avec un regard dépité

" Quoi ? Mais c'est impossible, c'est du suicide d'aller la bas ! On vient de me prévenir qu’une des plus grosse tempête jamais observée va se dérouler là bas. Si nous y allons nous mourrons engloutis par les vagues. Sans nos instruments nous sommes sur de heurter des rochers ou autre chose "


"Tu préfère finir fusillé à coup sur par les hommes qui nous poursuivent ? Ou avoir une faible chance de survivre à sa ? "

"Peut être qu’ils nous laisseront partir, c'est peut être une erreur? " On sentait la peur dans chacun de ses mots mais après avoir vu le regard de son ami, il reprit le contrôle de lui même

"Bien cap sur le triangle des Bermudes".

Jack sourit quand il vit que Kum avait reprit courage et parti prévenir Zen du danger qu'ils les attendaient tous.

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dimanche 20 juillet 2008

Le coeur du monde

bon voila ! mon tout premier texte que j'ai écrit , un jour où l'ennui apparaissait ( ce qui arrive relativement souvent pour moi ) j'ai décidé d'écrire une histoire qui me trottait dans la tête ....
je vous laisse juger....






Le cœur du monde



A l'époque, le monde sombrait dans le chaos total. C’est après un crash boursier dans les plus grand pays du monde que des guerres se déclenchèrent pour le contrôle des réserves de pétrole. La plus importante se déroula entre les États-Unis et tout le continent Sud-Américain. C’est alors qu’un groupe composé de trois des plus brillants scientifiques de ce temps, accompagnés de leurs familles, voulurent fuir une guerre qui n'était pas la leur. Le Capitaine Arnold Zen et son équipage ayant accepté de les aider, firent embarquer secrètement toutes ces personnes sur leur navire « The Heart ». Partis de Jacksonville en Floride, ils traversèrent l'océan atlantique vers l'Europe.

CHAP I : La découverte


Ils naviguaient depuis trois jours sans problème apparent, lorsque Jack, le contremaître, remarqua que plusieurs bateaux semblaient suivre « The Heart » depuis plusieurs minutes. Il décida de prévenir le capitaine.
Jack était un homme très attentif et il ne manquait pas de remarquer les choses auxquelles d'autres ne feraient pas attention, c'est pour cela que le capitaine l'avait choisi parmi ses hommes de confiance. Il n'avait que vingt-cinq ans et était très chevronné dans son travail. Bien que possédant un diplôme d'ingénieur, il avait préféré céder à l'appel de l’océan.
« Capitaine ! Capitaine ! » Essoufflé il reprit sa respiration.
« Quelle est le problème Jack ? Pourquoi hurlez-vous comme ça ? » Demanda Zen de sa voix froide et rocailleuse.
« J'ai aperçu six bateaux qui approchent à grande vitesse mon capitaine, j'ai cru reconnaître des navires de l’armée brésilienne… »
Le capitaine devint pâle. Il réfléchit quelques secondes avant de donner ses ordres.
« Dites à Kum d'aller le plus vite possible mais n'alarmez surtout pas les passagers, ils sont déjà assez stressés comme ça. »
« Bien capitaine ! »

Le capitaine Zen était un homme d'une cinquantaine d'années qui avait servit la marine américaine dans plusieurs conflits. Il avait miraculeusement survécu au sabordage de son navire ce qui lui avait valu le surnom de « Immortal », surnom qu’il n’appréciait pas particulièrement. En effet, l'explosion de son bateau avait causé la mort de beaucoup de membres d'équipage et donc amis. Il avait alors décidé de quitter la marine et de prendre sa retraite. Il s'installa a Jacksonville pendant quelques années jusqu'au jour où il reçu l’appel d'un vieil ami à qui il devait la vie. Son ami Mathéo lui demandait de conduire plusieurs scientifiques en Europe pour assurer leur protection. Zen accepta donc sans attendre les détails et rassembla sont équipage de confiance.


Le contremaître courut prévenir Kum.
Kum était un japonais de trente-deux ans qui avait quitté le Japon, espérant trouver un meilleur emploi. Il avait rencontré le Capitaine par hasard dans un bar alors qu'il venait de débarquer sur le sol américain. Mesurant 1m 80, brun et très maigre pour sa taille, certains membres le surnommaient « la Crevette », mais pas devant lui car Kum le trouvais dégradant et il avait un jour jeté quelqu’un par-dessus bord car celui-ci l’appelé comme ça. Ce qui avait stoppé immédiatement les blagues à son encontre.

« Kum ! Le capitaine demande d'accélérer au maximum, des bateaux de l’armée brésilienne nous suivent et approchent de plus en plus.
- Quoi! Mais .... Comment ont-ils pu ? » D’habitude très calme, il avait pourtant l'air paniqué par ce que son ami venait de lui dire.
« Ils ont dû réussir à franchir le blocus américain et il parait que l'Afrique vient de s'allier avec, peut être les ont ils aidés »

Comprenant la situation, Kum augmenta la vitesse le bateau, faisant chanceler Jack.

« Va dire au Capitaine que je ne pourrais pas laisser le moteur à fond pendant très longtemps, sinon le moteur risque d'exploser… et le bateau avec. » Une lueur passa dans les yeux du japonais comme s’il avait peur.
« Combien de temps peut-on tenir à cette vitesse ? »
« Quelques heures, pas plus. » annonça-t-il d'une voix basse…

Alors que le jeune homme tentait de rejoindre le Capitaine, il entendit une violente dispute.
« J’exige que l'on m’informe de la raison de cette accélération, ma femme a faillit tomber par dessus bord ! »
Zen qui avait l'air indifférent à ce que venait de dire l'homme, ne répondit pas immédiatement.
« Professeur Martins, je suis vraiment désolé si votre femme a été traumatisé par cette accélération mais nous y étions obligé ! »

Le professeur Martins, célèbre mathématicien américain connu dans le monde entier, avait échappé, avec sa famille, à une tentative d’enlèvement au Brésil, quelques jours après la déclaration de guerre. Il fuyait donc par peur d’attirer d’autres ravisseurs.

" Obligé ! Obligé ! Vraiment ? Et qu’est ce qui vous oblige à faire tomber Margareth du bateau ?
- Chéri calme toi, veux-tu ! Le Capitaine ne fait que son travail. »

Margareth était une ravissante femme d'une trentaine d'années, brune, de taille moyenne et le teint pâle. Elle n'était pas aussi fragile que le pensait son mari mais elle était très coquette et ne manquait pas de ce plaindre de l’inconfort du bateau.



Zen regarda martins droits dans les yeux, lui montra du doigt les bateau et dit :" nous sommes poursuivit par plusieurs bateau brésilien, mais peut être voulez vous vous arrêter pour évité que votre femme ne tombe a l'eau ?"

le professeur le tain livide regarda l'endroit que montré l'homme et il vit 6 bateau approché a toute vitesse, il devint rouge et balbutia: mais ... comment.. On t'il pu nous retrouvé ? "

" On dirais que notre fuite n'étaient pas si secrète que sa " affirma un homme d'un rire sans joie

Il s'agissait du professeur Nicolas Lefrel, trente-sept ans, physicien de génie, qui avait rejoint les était unis avec son fils de dix-sept ans, pierre. Il devait aider à développer une arme de défense mais c'était vite rendu compte que ce n'était qu'un mensonge, et avait dut quitter son poste et fuir avant que la guerre n'éclate totalement.



Jack s'avança prêt du capitaine et murmura " Kum affirme qu’on ne pourra pas garder cette cadence très longtemps, quelques heure toute au plus "

Le capitaine eu un sourire imperceptible a l'œil des passagers mais le contremaître le remarqua et s’interrogea.

" Bien ! Que tous les passager se réunissent ici toute suite, j'ai une annonce à faire "

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remerciment : Thibaud et daneel

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